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21.06.12

Schüler der 8C beim deutsch-französischen Reporterwettbewerb erfolgreich

FOTO: VAN

Preisverleihung in Strasbourg

Das Thema Wind beflügelt Schüler-Reporter

Nach Herxheim, Kusel und Landau gehen die Preise des deutsch-französischen Schüler-Reportagewettbewerbs, den die RHEINPFALZ in diesem Jahr zum zehnten Mal gemeinsam mit der elsässischen Tageszeitung „Dernières Nouvelles d'Alsace” ausgeschrieben hat. Die Preisverleihung fand gestern im Straßburger Science-Center „Vaisseau” statt. Außer den drei pfälzischen Klassen waren auch aus den beiden elsässischen Départements Bas-Rhin und Haut-Rhin je drei Klassen angereist. Einen dritten Preis (500 Euro) für ihre Beiträge zum Thema Wind erhielten die jungen Journalisten des Max-Slevogt-Gymnasiums in Landau. Zwei erste Preise (je 1500 Euro) überreichte RHEINPFALZ-Chefredakteur Michael Garthe an die Teilnehmer des Pamina-Schulzentrums in Herxheim und des Gymnasiums in Kusel. (gil)

Quelle: Verlag: DIE RHEINPFALZ , Publikation: Ludwigshafener Rundschau
Ausgabe: Nr.129, Datum: Dienstag, den 05. Juni 2012,Seite: Nr. 1

Un voyage au vent

Max-Slevogt-Gymnasium Landau: Eine windige Reise mit unterschiedlichen Fortbewegungsmitteln

Nach dem Abitur haben Freunde eine Reise durch Deutschland gemacht, um die verschiedenen Hobbys im Wind kennen zu lernen. Sie haben Segeln, Kitebuggy fahren, Windsurfen, Kitesurfen, Heißluftballon fahren, Base Jumping und Fallschirm springen mit und ohne Skier ausprobiert. Am Ende ihrer Reise haben sie der Segelflug-AG am Max-Slevogt-Gymnasium in Landau einen Besuch abgestattet und sich das Segelfliegen von Herrn Theisinger erklären lassen.

Des amis de longue date se rencontrent après le bac dans un café à Landau. Ils se rappellent le temps où ils ont fait un voyage pour fêter leur réussite de fin d'études. Ils avaient décidé que chacun essaierait différentes activités liées au vent. Pour garder un souvenir de ces vacances une des filles avait tenu un journal de voyage.


Sylt

Mardi: Aujourd'hui il y avait beaucoup de vent, c'est pourquoi nous avons décidé de louer un voilier pour faire de la navigation à voile. Le bateau avait trois mâts sur lesquels reposaient d'immenses voiles. Le vent était si fort ce jour-là que nous sommes partis très loin en mer. Tout à coup la tempête s'est levée, le bateau s'est redressé puis s'est mis à tanguer. Georg est devenu tout vert dans son visage, il a eu le mal de mer et a vomi tout son petit déjeuner. En rentrant nous étions tous contents d'être de nouveau sur la terre ferme. Pendant ce temps-là, Marie et Julius sont restés à la plage et faisaient du kitebuggy. Ils ont dit que c'était dräle d'être dans un véhicule avec trois roues et une voile. Ce kitebuggy ressemblait à un go-cart avec un mât et une voile. Le vent était si fort qu'ils ont atteint des vitesses de 40-50 km/h.


Jeudi: Aujourd'hui le vent était bien pour faire de la planche à voile et de la planche volante. Comme l'eau était très froide il a fallu s'habiller d'une combinaison en néoprène pour ne pas attraper froid. J'avais beaucoup de difficultés à rester sur la planche à voile, je suis tombée très souvent dans l'eau. Georg a décidé d'essayer la planche volante „kitesurf”. Là, on glisse sur une petite planche de surf tirée par un cerf-volant, appelé aile.


Berlin

Samedi: Marie a réservé un voyage en montgolfière à Berlin. Notre montgolfière se déplace par deux moyens: D'abord grâce à deux bonbonnes de gaz qui envoient de l'air chaud dans le ballon et celui ci s'élève vers le ciel. Ensuite, c'est le vent qui nous dirige là où il le veut. Nous voulions descendre de Berlin vers Potsdam mais le vent en a décidé autrement. Soudain, nous étions en Pologne!!!

Suisse

Lundi: Aujourd'hui nous avons escaladé le Jungfrau Aletsch. Là, Julius était le seul qui a osé faire du base jumping. Avant de partir il avait loué un costume de wingsuit en rose! Quand il l'a déballé et essayé sur lui nous avons tous rigolé: Il ressemblait à une chauve-souris! Il a sauté du sommet de la falaise et a atterri sur le sol avec une vitesse si grande qu'il s'est cassé les deux jambes et a dû rentrer en ambulance à la maison.


Mardi: Le grand rêve de Luisa et Georg était de voler en parachute avec les skis. Comme le temps était super ils l'ont fait ce jour-là. Le problème de Luisa était de maîtriser la conduite du parachute. Luisa montait, montait et montait dans le ciel mais n'arrivait pas à redescendre. Comme pour Julius sa descente fut terrible, elle a atterri dans un arbre!! Pendant ce temps-là, Marie et moi, on voulait essayer du parachutisme. Pour cela nous avons loué un avion bimoteur qui est monté à plus de 3000 mètres de hauteur. Arrivées tout en haut, on a eu peur de sauter, mais finalement nous l'avons osé.


Landau

Jeudi: Pour terminer ces vacances nous sommes tous allés à l'atelier d'aviation au Max-Slevogt-Gymnasium à Landau. Monsieur Theisinger nous a initié au vol à voile.

Über die Grenzen

Interview mit Martin Theisinger, Segelflugmeister 2009

Martin Theisinger ist Lehrer am Max-Slevogt-Gymnasium in Landau und Deutscher Segelflugmeister 2009. Er sprach mit uns über sein Hobby, berichtete von Risiken, besonderen Erlebnissen und von der Arbeitsgemeinschaft „Segelfliegen”, die er an unserer Schule leitet.


Qu'est-ce qui vous a amené à faire du planeur?

Quand j'étais petit mon père était dans le club des planeurs à Landau et j'ai trouvé le vol à voile très intéressant.

Est-ce que vous n'avez pas peur d'un accident d'avion?

De temps en temps si, mais c'est un sport comme les autres. Il y a des risques et aussi des accidents.

Quels risques est-ce qu'il y a?

On peut toucher un autre planeur, on peut être trop près d'un orage, on peut avoir un accident et si on est au-dessus d'une ville ou d'une forêt où on ne peut pas descendre immédiatement, ce sont les risques.

Passez-vous beaucoup de temps à faire du planeur?

Je passe un week-end sur deux et les vacances de Pâques et d'été en faisant du vol à voile.

Est-ce que c'est un hobby cher?

Si on est dans un club ce n'est pas cher (environ 600 Euro par saison). Le tennis et le ski sont souvent plus chers.

À partir de quel âge est-ce qu'on peut voler en planeur?

On a le droit de voler un planeur à partir de l'âge de 14 ans.

Avez-vous déjà vécu des événements extraordinaires?

Oui, pleins!! P. ex. quand j'étais en Finlande où il y a beaucoup de lacs, j'ai risqué atterrir dans un lac ...

Que faites-vous dans l'atelier „vol à voile” au MSG ?

Nous faisons de la théorie, par exemple la météorologie, mais les élèves font aussi du planeur. Chaque élève fait cinq voles dans l'année scolaire.

Avez-vous votre propre avion?

J'ai un planeur avec mon frère.

Quelle: Verlag: DIE RHEINPFALZ, Publikation: Pfälzer Tageblatt - Ausgabe Rheinschiene, Ausgabe: Nr.127, Datum: Samstag, den 02. Juni 2012, Seite: Nr.34

 

Vom Hasen und der Windenergie

Ob eine vom Wind angetriebene Reise durch Deutschland und Frankreich in Begleitung des Hasen Louis, ob ein Interview mit einem Segelflugmeister oder der Wind als Energiequelle: Die Beiträge zum deutsch-französischen Reportagewettbewerb der RHEINPFALZ und „Dernières Nouvelles d'Alsace” zum Thema „Wind” waren breit gefächert. Zur Preisverleihung in Straßburg am Montag reisten auch Schüler aus Landau und Herxheim.

Die Stimmung ist freudig und erwartungsvoll, als die neun Schüler der Klasse 8c des Max-Slevogt-Gymnasiums in den Bus steigen, der sie gemeinsam mit Schülern des Pamina-Schulzentrums Herxheim nach Straßburg bringen wird. Ihre Beiträge zum Schüler-Reportagewettbewerb sowie der Beitrag des Gymnasiums Kusel sind die drei besten aus Rheinland-Pfalz. In Straßburg, im Naturwissenschafts- und Technikmuseum Le Vaisseau, werden sie ihre genaue Platzierung erfahren. Auf einen ersten Platz hoffen alle.


Vorbereitet haben die Landauer Schüler den Beitrag zur zehnten Auflage des Reportagewettbewerbs mit ihrer Lehrerin Annette Schilling, die sie in Erdkunde bilingual - Géographie - unterrichtet. „Nach den Weihnachtsferien haben wir mit der Arbeit angefangen”, erzählt Marlene Roth, die wie der Großteil ihrer Mitschüler schon seit der Grundschule Französisch lernt. Die Initiative sei von ihrer Géographie-Lehrerin ausgegangen, die Auswahl des Themas sowie die Ausführung hätten jedoch in der Hand der Schüler gelegen. Das Ergebnis, eine Reportage über eine Reise mit von Wind angetriebenen Fortbewegungsmitteln sowie ein Interview mit Martin Theisinger, deutscher Segelflugmeister 2009, wurde von Französisch-Lehrerin Mélanie Gauweiler lediglich Korrektur gelesen, wie sie selbst erzählt. Sie begleitet die Schüler nach Straßburg, da Schilling verhindert war. Diese wünschte per SMS „viel Glück”.


Die acht Schüler des Pamina-Schulzentrums Herxheim haben in einer Reportage den Wind als Energiequelle näher beleuchtet. Abgerundet wird der Beitrag durch ein deutsch-französisches Chanson über den „Pfälzer Wind” sowie ein Interview über Windräder mit Kandels Bürgermeister Volker Poß. Einen „zum Thema passenden Interviewpartner” zu finden, sei schwer gewesen, erinnert sich Französisch-Lehrerin Hannah Herrmann, die das Projekt gemeinsam mit Christine Götz betreute. Ansonsten habe die Arbeit mit den „engagierten Schülern” jedoch reibungslos funktioniert.


Beide Lehrerinnen haben bereits mehrmals am Reportagewettbewerb teilgenommen und zeigen sich vom Konzept begeistert: „Es ist spannend für Schüler, sich auf französisch mit anderen Themen als im Unterricht zu beschäftigen”, sagt Götz.


Alle begleitenden Lehrerinnen sahen im Kuseler Beitrag, „Le tour franco-allemand de Louis le lapin”, den großen Favoriten und behielten damit zumindest teilweise Recht: Es wurden jeweils drei Preise für die Départements Bas-Rhin, Haut-Rhin sowie für Rheinland-Pfalz vergeben. Sowohl die Kuseler als auch die Herxheimer Schüler bekamen für jeweils „gleichwertige Arbeiten” von RHEINPFALZ-Chefredakteur Michael Garthe den ersten Preis überreicht (wir berichteten gestern auf der Titelseite). Er ist mit 1500 Euro dotiert. Der zweite Platz blieb unbesetzt, der dritte und 500 Euro gingen an die Landauer Schüler. Diese zeigten sich etwas enttäuscht, freuten sich aber schon auf die Verwendung des Preisgeldes. Einen Tagesausflug ins Elsass schlug Lehrerin Gauweiler vor.


Im Vordergrund der Veranstaltung sollte auch nicht unbedingt der Wettbewerb stehen: Die rheinland-pfälzische Landtagsabgeordnete Ruth Ratter formulierte ihre Hoffnung, dass die Schüler die „Chance zum Austausch” nutzten und „neue, grenzübergreifende Kontakte” knüpften. Zeit hierzu hatten die rund 150 pfälzischen und elsässischen Schüler der Klassenstufen sechs bis zehn beim anschließenden Mittagessen und der freien Besichtigung des Museums.

(Von Laura Kling)

Quelle: Verlag: DIE RHEINPFALZ, Publikation: Pfälzer Tageblatt - Ausgabe Rheinschiene, Ausgabe: Nr.130, Datum: Mittwoch, den 06. Juni 2012, Seite: Nr.19

 


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